Courriers des Désengrammeurs

Giuseppé   ITALIE

 

 

 

 

 

 

 

Un cas de spondylarthrite ankylosante

Janvier 2012

Monsieur M.M. âgé de 45 ans viens me voir pour une spondylarthrite ankylosante

datée de 20 ans avec un autre cas en famille

Rx: sacroiliite dx

présence antigène HLA-B27

Le traitement:

- anti-inflammatoire : l'indométacine 50 mg (4-6 par jour depuis toujours)

- salazopirine 3-4 par jour depuis 6 mois

Eleveur de poulets avec son père depuis 25 ans

Trauma cranial avec blessure à l’âge de 6 ans

Examen objectiv:

Tableau clinique très grave avec

- Raideur persistantes dans la région lombaire avec perte de mobilité du rachis se

traduisant par une limitation de la flexion antérieure et test de Schober de 1 cm

- Enthésopathie au niveau des talons

- Uvéite en traitement avec cortisone

- Expansion thoracique (la différence entre inspiration maximale et expiration

maximale forcées au niveau de l’espace situé entre la quatrième et la cinquième

côtes qui normalement est de 5 cm, voire plus) est de 1 cm.

Au niveau de ostéopathie ènèrgetique:

Poumon 38 air du hangar l’èlevage (riche en ammoniaque) 20

poudre de fourrage 18

Gros intestin 18 gluten 18

Foi 30 plumes 12

salazopirine 18

trauma cranial 20

Après 4 seances les test se sont normalisés et de lors, control tous les 6 mois,

maintenant au 3° control, le patient n’a plus de douleur, il ne prend plus

d’antiflammatoires et prend seuleument 1 salazopirine.

Bien sur Un cas de spondylarthrite ankylosante

Janvier 2012

Monsieur M.M. âgé de 45 ans viens me voir pour une spondylarthrite ankylosante

datée de 20 ans avec un autre cas en famille

Rx: sacroiliite dx

présence antigène HLA-B27

Le traitement:

- anti-inflammatoire : l'indométacine 50 mg (4-6 par jour depuis toujours)

- salazopirine 3-4 par jour depuis 6 mois

Eleveur de poulets avec son père depuis 25 ans

Trauma cranial avec blessure à l’âge de 6 ans

Examen objectiv:

Tableau clinique très grave avec

- Raideur persistantes dans la région lombaire avec perte de mobilité du rachis se

traduisant par une limitation de la flexion antérieure et test de Schober de 1 cm

- Enthésopathie au niveau des talons

- Uvéite en traitement avec cortisone

- Expansion thoracique (la différence entre inspiration maximale et expiration

maximale forcées au niveau de l’espace situé entre la quatrième et la cinquième

côtes qui normalement est de 5 cm, voire plus) est de 1 cm.

Au niveau de ostéopathie ènèrgetique:

Poumon 38 air du hangar l’èlevage (riche en ammoniaque) 20

poudre de fourrage 18

Gros intestin 18 gluten 18

Foi 30 plumes 12

salazopirine 18

trauma cranial 20

Après 4 seances les test se sont normalisés et de lors, control tous les 6 mois,

maintenant au 3° control, le patient n’a plus de douleur, il ne prend plus

d’antiflammatoires et prend seuleument 1 salazopirine.

Bien sur les autres test cliniques ne sont pas changés.

Pascal BODART  BELGIQUE

 

Cher Jean-Philippe,


je t'adresse ce mail pour te donner des nouvelles de la désengrammation en Belgique. 
Il y a maintenant 6 mois que nous nous sommes rencontrés.  La désengrammation prend de plus en plus de place dans mon activité, mais je suis confronté à une difficulté pratique liée au fait que mon agenda ne me permet pas de voir mes patients à la fréquence souhaitée. Actuellement la fréquence de traitement est d'une séance toutes les 5 semaines... .  Ce qui correspond aussi au délai d'attente pour obtenir un rendez-vous.
Je te fais part de quelques cas qui illustrent le succès de  la désengrammation:
Cas n°1: MD, sexe masc, âge 38ans.  Patho: achilléïte bilat. et lombalgie chronique depuis 12 ans.
Trait: café (108)-mérid V.
Trait. suivant: café (40)-mérid. V. ok. Disparition douleur tendons d'achille.  Mieux lomb.  Le patient est passé de 8 à 10 tasses de café par jour à 0 tasse.
2 séances après, tout est ok.
 
Cas n°2: BB, sexe F, 57ans.  Patho:ablation ovaires et trompes dans contexte néo.  Le traitement est un suivi de chimio, la patiente ayant pu subtiliser les baxters.  Chaque séance de chimio a été suivie d'une séance de désengr.  La patiente est très étonnée du peu d'inconvénient et du peu d'inconfort relatif après les chimios.  Outre la perte des cheveux, elle se dit "bien" dans le traitement chimio.
 
Cas n°3: MB, sexe F, 62ans.  Sympt: douleurs abdominales et migraines.
Traitement: désengr. aliments: produits laitiers (12), oléagineux (16), épautre (32), froment (20), sucre (44),aspartame (22), café (26), thé (12), éthanol (14), GI (40), IG (20), Rate (26).
Après 5 séances, disparition totale des symptômes et amélioration lombalgie chronique.
 
Cas n°4: BI, F, 48 ans.  Patho: dérèglement hormonal avec cycle très irrégulier.
Traitt: médul surrén (30), hypothal (13), antéhypoph (26), oestrad (26), progest (14),  aldostér (23).
Après 5 séances, toutes les valeurs sont normalisées et le cycle aussi... 
 
Cas n°5: AC, F, 17ans.  Patho: douleur traumatique avant-bras droit: a reçu un coup de pied dans le cadre d'un exercice de tai kwondo, il y a 9 mois... .La douleur est accompagnée d'une impotence fonctionnelle relative, résistante à différents traitements médicamenteux, ostéo, kiné, plâtres.
Taitt: GI (20), IG (20), cf douleur sur trajets mérid., épautre (38), froment (30), sucre (25), aspartame (30), chocolat (26), condiments ( 26).
Après 4 séances (1 séance toutes les 5 sem.), disparition totale des symptômes et récupération de la mobilité.
 
Cas n°6: SA, F, 31ans.  Patho: nuqualgie, maux de tête, boutons au visage depuis plusieurs années.  Ingénieure industrielle.
Traitt: GI (49), IG (30), froment (44), câpres (28), olives vertes (26),ammoniaque (36), visualisation de 3 personnes avec lesquelles elle a eu des relations profes. conflictuelles: B (42), E (42), C (20).  Pour l'histoire, cette patiente a travaillé dans une entreprise de conditionnement de condiments, qu'elle consommait au quotidien, dont câpres et olives. La patiente respirait des vapeurs d'ammoniaque au sein de l'entreprise.
Après 4 séances, nette diminution des valeurs d'engram. et des symptômes en parallèle.  A ce jour traitement non terminé, avec élimination difficile de l'aspect émotionnel, et lente diminution de la valeur d'engram. du froment qui perturbe les intestins, malgré suppression totale de la consommation de froment.
 
Cas n°7: LA, F, 70ans.  Patho: sensation de froid sur le thorax avec besoin d'y apporter de la chaleur.  La patiente roule dans une nouvelle voiture et ne maîtrise pas l'utilisation de la climatisation automatique.  De ce fait elle est soumise continuellement à une arrivée d'air dirigée vers elle.
Traitt: désengram. à l'aide du ventilateur (80).  Visualisation d'une ancienne situation de refroidissement qui lui avait laissé une sensibilité au froid.
Après 3 séances, les symptômes ont disparu.  Pour l'annecdote, peu de temps après la dernière séance, la patiente a été car-jackée à Bruxelles.  Une vitre latérale arrière de son véhicule a été fracturée, et la patiente a parcouru 50 kilomètres, la nuit, en novembre, par une température négative.  Elle pensait bien faire une bronchite ou une pneumonie.  Mais elle n'a rien eu, la désengrammation l'ayant préalablement désensibilisée...
 
Cas n°8: LL, F, 59ans.  Patho: nuqualgie, maux de tête, sensibilité de la peau du visage,rhinite, mycose entre les orteils.
Traitt après anamnèse et élimination d'autres hyothèses: désengram. au ventilateur (140)...
La patiente est continuellement soumise à une circulation d'air liée à un appareil de renouvellement d'air sur son lieu de travail.  Quand elle reste chez elle quelques jours sans se rendre au travail les symptômes s'atténuent fortement.  Lors des fortes chaleurs d'été, elle enlève ses chaussures au boulot et place un ventilateur sous son bureau, en direction des pieds en transpiration... .  Traitement non terminé, symptômes en très nette amélioration après 3 séances.
 
 Cas n°9: BD, M, 50ans.  Patho: hypersomnie: s'endort n'importe quand, n'importe où, et peut dormir jusqu'à 23 heures d'affilée. Importantes douleurs musculaires invalidantes.  Profession: routier, en incapacité de travail depuis 13 mois.  Le patient a été hospitalisé plusieurs fois et a subi de nombreux examens
A reçu un traitement pour épilepsie qu'il n'a pas supporté.  Un autre traitement pour dépression a été tout aussi mal toléré.
Traitt: après anamnèse et quelques séances d'ostéo: Tétanos désengrammé en 3 séances.  Disparition progressive des symptômes jusqu'à normalisation suivie de la reprise du travail.
 
Voilà quelques exemples aussi variés qu'intéressants, qui illustrent à merveille l'efficacité de la désengrammation. 
Il y a aussi les échecs, liés à l'inexpérience, ou à d'autres facteurs. 
Pour ma part, j'estime disposer d'un excellent outil et je compte bien persévérer en la matière. 
Dans l'attente de tes nouvelles, je t'adresse mes remerciements. 

 

Au plaisir de te lire.
 
Pascal BODART.

De mail

   en mail !!!!  

 

 

Cher Jean-Philippe,


En cherchant à exploiter la technique de stimulation-équilibration je me suis trouvé confronté à une situation qui me pose question. Je t'explique:
J'ai reçu en consultation une patiente présentant une troisième offensive cancéreuse au cerveau.  Elle a déjà été trépanée deux fois et il n'est plus question d'une nouvelle opération.  Une chimiothérapie lui est proposée.  Il lui faut donc encaisser le nouveau diagnostic et se préparer à affronter la chimio.  Fier de mes nouvelles possibilités de traitement en désengrammation je me suis dit que je pouvais lui venir en aide.  Outre le fait de désengr. L’annonce du diagnostic et de désengr. La chimio, j'ai pensé à une équilibration.  Examinant son crâne, je constate qu'il part immédiatement en parasymp., sans mur.  Je me prépare donc à stimuler l'orthosymp., me disant que ça pourrait l'aider à la booster un peu pour passer au travers de ses difficultés.  Mais pris d'un doute, je me suis abstenu.  Partant de la théorie de la genèse du cancer selon Hamer, la personne atteinte d'un cancer passe d'abord d'un stade de normo tonie à un stade de sympathicotonie permanente correspondant à la phase active du cancer, puis à un stade de vagotonie permanente correspondant à la phase de guérison, pour finir par un retour à la normo tonie.  Dès lors, je m'interroge quant à l'opportunité d'une intervention de stimulation ou d'équilibration, car je pense qu'il y a un risque de perturber le déroulement des différentes séquences de la maladie.  

N'y a-t ‘il pas contre indication? 

Qu'en penses-tu ?

 

 

Réponse de Jean-Philippe :

 

 

 

 

 

 

 

Cher Pascal,

"Dans le doute abstiens toi", dit un vieux proverbe, car en effet dans ton cas précis, on ne sait pas exactement à quel moment se situe son cancer.


Tu as donc bien fait de  t'abstenir, le stade de sympathicotonie correspond au stade de défense de l'organisme et le stade de vagotonie à celui de la récupération.
Si cette personne est en offensive cancéreuse, elle se trouve donc en sympathicotonie.
Je ne pense pas que l'on puisse faire beaucoup plus  que ce que fait le corps lui-même.  Dont acte ! Je pense qu'il faut donc suivre le cours du système neurovégétatif et le respecter.
Par contre, ce que tu peux faire, c'est stimuler le système auto immunitaire  pour aider le corps à évacuer les cellules cancéreuses.
(Lymphocyte B, T4, T8, granulocytes, immunoglobulines, et les interleukines, etc....


J'ai à peu près ce qu'il faut en ce domaine.
Il y a aussi une partie très importante à travailler chez cette patiente, c'est la cause de cette offensive cancéreuse et là plusieurs pistes sont  a considérer : chocs psycho émotionnels, chocs psycho affectifs, intoxication par des toxiques du cerveau, médicaments atteignant les neurones,  problèmes hormonaux ou métaboliques etc... Car il faut trouver le système déclencheur afin de stabiliser la maladie, sans quoi c'est la chronicité et ...

LA DESENGRAMMATION
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