Le concept de l'Intrus - La désengrammation ostéopathique énergétique  & la médecine causale.

                                         
INTRODUCTION

Quelques idées préconçues à démystifier...      

L'ostéopathie énergétique n'est pas une abstraction,c'est une réalité physique.

L'ostéopathie énergétique est un ensemble de techniques qui permettent de détecter et de corriger les zones de déplétion, d'excès ou de blocage de l'énergie.


Comment se crée l'énergie biologique au sein de la cellule?

* Les mitochondries de la cellule sont les lieux de création de l'énergie par transfert d'électrons à partir de la dégradation des nutriments. Le principal combustible de la cellule est le glucose - l'oxygène de l'air amené par la respiration pulmonaire en est le comburant.
* l'ATP ou adénosine triphosphate transporte cette énergie partout où la cellule a besoin de fournir un travail chimique, mécanique ou électrique.


Les notions de ralentissement, de perturbation, de déplétion ou de blocage énergétique sont les dysfonctionnements de cette énergie biologique.         


L'ostéopathie crânienne n'est pas un mythe,mais une réalité tangible.                                                                               


 

L'ostéopathe perçoit, amplifiée par la boîte osseuse, la mobilité crânienne, la qualité et les réactions tissulaires, en particulier celles des membranes de tension réciproque que sont la faux du cerveau et la tente du cervelet.

DES OUTILS POUR PENETRER LES ARCANES DU CONCEPT...

                               LE CERVEAU PRIMAIRE 
                                                    &

                            LES TESTS ENERGETIQUES

                LES 3 CERVEAUX DE PAUL MAC LEAN

 

De façon très simplifiée, l'homme possède 3 cerveaux interconnectés apparus aux différentes époques de son évolution :    

 *Le premier le cerveau reptilien  est la partie la plus primitive du cerveau et le siège des réflexes instinctifs. Il est composé du tronc cérébral et une partie du mésencéphale. Il assure la survie de l'organisme et la régulation des grandes fonctions vitales.
 *Le second est le système limbique qui correspond aux mammifères.
Il est composé d'un ensemble de noyaux comme le septum, le thalamus, l'hippocampe, etc. Il reçoit des informations qui proviennent à la fois du milieu intérieur biochimique nerveux et du milieu extérieur. Son action s'exerce sur les comportements instinctivo-émotionnel et les motivations  conduite.

Le cerveau reptilien et le système limbique composent le cerveau  primaire
 * Enfin le troisième cerveau, le cortex cérébral qui correspond à l'homme et qui est le cerveau le plus évolué. Il contrôle les mouvements délibérés et est à la base du langage, de la pensée consciente et des processus cognitifs complexes.

 Ce cortex cérébral ou néo-cortex est le cerveau secondaire.
  * C'est le cerveau primaire qui va répondre aux tests spécifiques de l'ostéopathie crânienne énergétique à travers la réaction des membranes de tension réciproque.   
(Une description plus complète du cerveau primaire sera développée dans un chapître à part).




                                LA DESENGRAMMATION

* La désengrammation est une procédure spécifique du cerveau primaire  qui permet de lever les barrières  énergétiques là où il y a blocage. Cette procédure fait partie de l'homéostasie et des possibilités d'autorégulations des métabolismes du corps. 

     * Ce sont des techniques d'ostéopathie fonctionnelle non agressives, puisqu'elles se contentent de mettre en œuvre et de contrôler des phénomènes

*  L'axe crânio-sacré : C'est l'axe nerveux du corps.


  Il comprend le crâne, la colonne vertébrale et le sacrum. Il y a concordance de rythme et d'amplitude entre le crâne et le sacrum.

 * Test du sacrum
Ce test permet de contacter les méridiens énergétiques et les zones de déplétion ou de blocage énergétique et d'avoir une réponse au niveau du sacrum.



 

...Ce n'est pas une chimère    

 
LE CORPS EST CAPABLE D’AUTOREGULATION, D'AUTOGUERISON ET D'AUTODEFENSE. Ce phénomène s'appelle l'HOMEOSTASIE C'est la cybernétique de l'être vivant.
Le concept de l'Homéostasie a été proposé pour la première fois par Claude Bernard, physiologiste du 19ème siècle.
Il a déclaré "la constance de l'environnement interne est la condition d'une vie indépendante".

L'homéostasie se défini comme la capacité de l'organisme à maintenir un état de stabilité relative des différentes composantes de son milieu interne et ce malgré les variations constantes de l'environnement externe.
L'homéostasie est indispensable au maintien de la vie, c'est un système complexe avec des boucles de rétroactions négatives qui régularisent les fonctions. Au sein de cet ensemble de mécanismes qui regroupe les systèmes d'adaptation aux conditions de la vie, s'inscrit  :
"La désengrammation" *.


*(Désengrammation : fait de supprimer la trace mémorisée d'un évènement dans le cerveau)


                          LA DESENGRAMMATION


Cette procédure spécifique se fait en deux temps :
Un premier temps de décryptage séquentiel des éléments perturbés. C'est la phase de désengrammation.
Un deuxième temps de restructuration cellulaire. C'est la phase de normalisation.

La procédure de désengrammation du cerveau primaire est d'une remarquable précision que l'on peut qualifier de "mathématique", ce qui laisse à penser qu'elle peut-être identifiable si l'on en a les moyens techniques adéquats.
Les phases de la procédure sont identiques pour tous les individus, ce qui justifie qu'elle fasse partie de notre patrimoine génétique.
Par contre les variations de cette procédure supposent que chaque individu est un potentiel d'engrammation personnel.

Une autre spécificité du cerveau primaire serait son rôle de "sentinelle", système archaïque lié à l'instinct qui aurait pour mission de contrôler et éventuellement de bloquer l'entrée de produits toxiques ou en excès dans le corps et en première intention d'alerter l'individu sur le risque de l'intrusion.

                               LA NOTION DE MALADIE


Maladie honnie ou maladie bénie...   Encore une notion à revoir...

La maladie n'est pas un ennemi à combattre mais une manifestation intelligente de notre organisme. L'état de maladie est pour le corps concerné une lutte interne de chaque cellules pour rétablir un équilibre physiologique. La médecine n'a qu'une seule fonction valable; celle d'aider intelligemment le corps à recouvrer son équilibre métabolique. Soulager la douleur est un acte positif car celle-ci est une grande consommatrice d'énergie, supprimer le symptôme n'est pas une solution. Pour aider le corps il faut chercher la cause du conflit et la supprimer. Ces causes sont multiples et souvent identifiables. Nous développerons ce thème plus loin.

Et maintenant pour ceux qui veulent en savoir plus, entrons dans:

                             

LES  NOTIONS DE PHYSIOLOGIE DE L'ENERGIE BIOLOGIQUE ET DE BLOCAGE ENERGETIQUE

L'énergie biologique est crée au fil d'une chaîne de réactions chimiques qui est le point de départ de toute vie biologique. Chaque individu reçoit à sa naissance un potentiel énergétique qui lui est propre et que l'on appellera l'énergie ancestrale. L'énergie quotidienne nous est fournie par les nutriments. Ce potentiel énergétique peut varier en fonction des circonstances de la vie. Il peut être considérablement amplifié dans les situations de survie ou bien grâce à certaines techniques mentales ou spirituelles. Ce potentiel peut par contre chuter dans les chocs émotionnels, affectifs, psychiques ou physiques. Il peut aussi diminuer considérablement en cas de mauvaises alimentations, de drogues, de travail excessif, de stress ou de pollution. En cas de diminution de ce potentiel énergétique  on parlera de "déplétion énergétique". On emploiera le terme de "blocage énergétique" lorsqu'une zone ne pourra plus répondre à la demande cellulaire. Là ou la demande d'énergie est plus forte pour de multiples raisons (travail, efforts, réparations) les cellules vont augmenter leurs productions d'énergies et en accélérer le transport. Ce système s'applique à toutes les cellules du corps humain-c’est-a-dire à nos 60 000 milliards de cellules.   
Si pour des raisons diverses l’énergie cellulaire diminue, elle va entrainer dans sa zone d’activité une diminution de tous les métabolismes tissulaires. Il y aura moins d’énergie distribuée et augmentation des déchets métaboliques due au travail cellulaire. Si la demande dans cette zone particulière augmente pour des raisons de travail  supplémentaire ou d’effort, cette zone sera dans l’incapacité de répondre à la demande et va envoyer au cerveau des messages de détresse car elle va entrer en hypoxie et en anoxie comme l’employé surchargé de travail qui se révolte et manifeste son stress. On voit donc dans cette démonstration que hiérarchiquement si la douleur se déclenche à l’effort, la cause elle, est déjà présente sous forme de ralentissement dans la fourniture d’énergie de la zone cellulaire. Sans effort particulier le lieu de blocage énergétique peut rester très longtemps silencieux. L’effort est ainsi secondaire et devient le déclencheur de la douleur.


QUE PERCOIT L’OSTEOPATHE AU NIVEAU DU CRANE ?

Voici un sujet très controversé même chez les ostéopathes ! On l’appelle le Mouvement Respiratoire Primaire. Il fait partie des possibilités de mobilité de la boîte crânienne.

 

La mobilité crânienne

La mobilité crânienne a été mise en évidence vers les années 1930 par Sutherland qui était un élève de Still, le père de l'Ostéopathie. Que nous dit-il ? Il nous explique que le crâne est formé de plusieurs os reliés par des pseudos articulations que l'on nomme "sutures". Ces sutures sont douées d'un peu d’élasticité grâce à des fibres souples qui les relient entres elles, appelées fibres de Chappé. Ces sutures gardent jusqu'à notre mort une certaine mobilité, ce qui  est en contradiction avec la vieille théorie classique qui veut que le crâne adulte soit définitivement soudé et rigide.

 

L’Ostéopathe peut donc percevoir les blocages sur les sutures crâniennes(lésions de sutures), les zones de résistances dans la qualité osseuse (lésions intra-osseuses), les disparités dans la mobilité des différentes pièces osseuses (lésions articulaires), les perturbations liquidiennes (liquide céphalo-rachidien), les tensions et torsions membraneuses (méninges) et enfin, pour ce qui nous intéresse  dans le concept de l’intrus, les zones d’hyperactivité neuronales et les procédures de désengrammation du cerveau primaire.


Le mouvement respiratoire primaire

Ce sont les membranes de tension réciproque ( faux du cerveau et tente du cervelet) qui font partie des méninges et vont répercuter dans la boite crânienne les modifications des hémisphères cérébraux dus à la « motilité » du cerveau c’est-à-dire à ses propres rythmes ; motilité que l’on nommera pour sa spécificité  « mouvement respiratoire primaire ». Ce petit mouvement demande pour le percevoir une grande concentration et beaucoup de pratique. Il arrive amplifier dans les mains du praticien par les membranes crâniennes, les différentes pièces osseuses et l’aponévrose épicrânienne.

 

 

La mécanique du Mouvement Respiratoire Primaire

Il existe donc une motilité du cerveau, c’est-à-dire un mouvement propre au cerveau, indépendant de la respiration pulmonaire et de la circulation sanguine. Ce mouvement spécifique a un rythme qui peut varier chez un individu et qui varie aussi d’un individu à l’autre. Ce mouvement est perçu par la main sensible et exercée du thérapeute. Il faut parfois beaucoup de temps et de travaille a l’étudiant en ostéopathie pour accéder à ce stade de la perception manuelle dans la mobilité tissulaire. Il est comme le violoniste qui va sur  quelques millimètres de corde affiner le son de la note. Lui aussi devra sans cesse travailler la précision de son toucher et la qualité de son interprétation. Il n’est pas dans mon propos de rentrer dans les arcanes  de ce mouvement primaire, mais il renseigne l’ostéopathe qui travaille au crâne sur l’état énergétique du patient,  sur des désordres, des traumatismes crâniens,  etc.

L’origine et même la réalité de ce mouvement respiratoire primaire est controversée chez les ostéopathes probablement parce qu’un certain nombre d’entres eux ne perçoivent pas ce phénomène dans leurs mains.


Dernière minute :

Les scientifiques russes sont à l’heure actuelle en train d’étudier ce phénomène très controversé du « mouvement respiratoire primaire » pour tenter d’en trouver la source et d’en démontrer l’existence.


 

Le Cerveau Primaire

Introduction

L’organisme est donc en permanence informé de l’état de fonctionnement des organes et de ses équilibres internes grâce à des signaux venant de l’extérieur et de l’intérieur. Le cerveau apparaît comme l’intégrateur des ces différents signaux et non comme le centre hiérarchique suprême où se prennent les décisions : il n’y a pas de « leader » dans l’organisme humain.

(Le macrocosme - vers une vision globale – Joël de Rosnay)

                          DEVELLOPPEMENT DU CERVEAU



Les maillons de la chaîne 

La moelle épinière se continue dans le système nerveux central par le cerveau postérieur qui comprend dans l’ordre suivant : le bulbe rachidien, la protubérance annulaire ou Pont de Varole et le cervelet.

 

Puis vient le Mésencéphale ou cerveau moyen.

 

Le bulbe, la protubérance et le mésencéphale forment le tronc cérébral .C’est le cerveau instinctif ou reptilien qui est le siège des réflexes et des instincts. Il assure la survie de l’espèce.

Ensuite nous entrons dans le cerveau antérieur dans lequel nous trouverons dans l’ordre : 

- Le diencéphale ou cerveau  intermédiaire avec le thalamus, l’hypothalamus, l’hypophyse, la glande pinéale et le chiasma optique.

 

- Le télencéphale ou cerveau hémisphérique qui est formé des hémisphères, des lobes et circonvolutions  et du Rhinencéphale.

Le cerveau hémisphérique est le cerveau secondaire ou cognitif.

 

 Le Rhinencéphale qui est la formation la plus ancienne du télencéphale, commune à l’ensemble des vertébrés.Il comprend le bulbe olfactif, l’amygdale rhinencéphalique et l’hippocampe.

 

C’est dans ce cerveau primaire que se trouve probablement la « boîte à outil » et c’est certainement le lieu de la désengrammation. Ce cerveau primaire a un rôle fondamental dans l’ensemble des fonctions métaboliques et psycho émotionnels.



(En prévision : Physiologie des grandes structures du cerveau primaire)

Les méridiens énergétiques        

Les méridiens énergétiques représentent le circuit parcouru par l’énergie pendant les 24 heures que constitue la durée du jour solaire moyen. C’est la qualité de cette énergie que nous allons tester au crâne et qui par comparaison  va nous permettre, après le traitement, de vérifier l’amélioration des métabolismes du patient.

 

Physiologie des méridiens

L’énergie biologique présente quatre états distincts : la normalité, la plénitude,  le vide et le blocage énergétique, c’est-à-dire que le flux énergétique est soudain rompu, soit dans l’ensemble d’un ou de plusieurs méridiens, soit dans une partie du circuit.

Le trop plein d’énergie  dans le méridien entraînera des pathologies qui seront de types inflammatoires, les manques d’énergie seront les causes de pathologies d’insuffisance et les blocages énergétiques seront l’origine de douleurs violentes et tenaces (à type de névralgies, de myalgies, de douleurs articulaires)  que l’on retrouvera sur le trajet du méridien de l’organe en cause.

 

La douleur et les blocages énergétiques

Le blocage énergétique peut rester longtemps silencieux mais se réveiller à la suite d’un effort qui va demander brusquement une plus grande énergie aux muscles et aux ligaments. La douleur va apparaître et le patient la mettra sur le compte de l’effort ou d’un « faux mouvement » alors que celui-ci n’est qu’un révélateur.

Les phénomènes comme le stress, la fatigue, les mauvaises positions et les gestes répétitifs sont des facteurs aggravants la douleur ou les symptômes, mais ne doivent pas être considérés comme éléments causatifs.

Les organes sont eux-mêmes rarement douloureux et quand ils le deviennent, ils signent une souffrance profonde et importante.

 

La zone douloureuse bénéficie du déblocage général du méridien et peut perdre immédiatement jusqu’à 70% de sa virulence ce qui signe la réussite du traitement.


Exemple de méridien : Le méridien de la vésicule biliaire

 

LE MERIDIEN DE LA VESICULE BILIAIRE

SAISON : Printemps

HORAIRE : Entre 23h et 1 h T.U.

COUPLE : Le foie

CARACTERISTIQUE GENERALE : Stocke et concentre la bile du foie.

PHYSIOLOGIE CHINOISE : Ministre de la Justice, blocage vésiculaire suite à émotion ou à contrariété en particulier l’injustice, gère l’état des muscles. Action sur le psychisme (irritabilité et colère), favorise le courage. Fait partie du système de défense du corps.


PATHOLOGIES ASSOCIEES : Problèmes digestifs, nausées, vomissements, ballonnements, perturbation du transit, verminose intestinale, cervicalgies, douleurs d’épaule, de hanche, névralgies sciatiques, entorse tibio-tarsiennes à répétition, problèmes de céphalées, migraines, problèmes d’oreille, acouphènes, vertiges, problèmes musculaires.

 

SYMPTOMES DE PLENITUDE : Algies dans les maxillaires, algies, contractures, chaleur le long du méridien, costalgies et douleurs dans les flancs, céphalées latérales, acouphènes, vertiges, algies de la hanche, mastose, insomnie du début de la nuit, irritabilité, colère.

 

SYMPTOME DE VIDE : Fatigabilité, manque de force dans les membres, surdité, hypotonie musculaire.

 

PRINCIPALES CAUSES : Laitages ++++, médicaments +++, œuf  (jaune), plume +++++, graisses animales et végétales, drogues, produits toxiques, colères, contrariétés.

LE CONCEPT DE L’INTRUS

 

Le but du concept

Le but du concept est de créer une médecine globale et causale dont les racines sont l’ostéopathie avec des tests spécifiques énergétiques et des corrections spécifiques ostéopathiques. L’ensemble a pour objectif de  libérer les blocages énergétiques et ainsi d’inverser les paramètres pathologiques puis d’aider  le corps à se restructurer par lui-même grâce à ses possibilités homéostatiques c'est-à-dire à stabiliser ses différentes constantes physiologiques.

 

L’hypothèse du concept est que toute maladie est à l’origine liée à une intrusion, comme le bug ou le virus de l’ordinateur.

L’Intrus peut se présenter sous différentes formes. Il peut être un élément environnemental, nutritionnel, psychique ou traumatique. Ce qui en fait un Intrus c’est que le corps et le cerveau ne vont pas l’accepter et vont essayer de l’empêcher d’investir le corps.

(les virus, les bactéries sont les exemples d’intrus les plus évidents, la réaction du corps vis-à-vis de ces éléments dépendra de l’énergie déployée à les éliminer.)

L’intrus peut présenter différentes caractéristiques :

- L’élément est très agressif ; poison, venin, toxiques, virus, radiations, traumatismes. Tout dépendra de la force énergétique de l’individu et de la qualité de son système immunitaire et de ses métabolismes de réparation.

 - L’élément n’est pas particulièrement agressif mais il est répétitif. Le corps va réagir en essayant de métaboliser l’intrus et de l’éliminer par les émonctoires. S’il n’y parvient pas il y a formation de glaires et chronicité.

 - L’élément est peu agressif mais l’énergie du corps est en chute libre pour différentes raisons. Le corps ne peut plus se défendre. Le cerveau primaire intègre le « principe de précaution » et invalide tout ce qui peut agresser l’organisme.

 

Les grandes causes de la maladie

Nous pouvons définir 3 grandes causes de maladie :

 

1° Ce que nous ingérons – alimentation – boissons – l’air que nous respirons. le poumon, l’intestin grêle, le gros intestin et la peau sont nos interfaces avec le monde extérieur. C’est par là que peuvent pénétrer les Intrus.

 

2° les éléments agressifs et toxiques – virus – bactéries – parasites – champignons. Tous passent par les interfaces. Il faut y ajouter les traumatismes physiques car là encore il y a intrusion, nous verrons comment on peut l’identifier et le neutraliser.

 

3° les éléments psychosomatiques, psycho émotionnels, psychoaffectifs. Nous y consacrerons un chapitre à part. Nous verrons comment ces éléments peuvent devenir intrusifs et créer la maladie.

 

Enfin il nous reste l’hérédité et la congénitalité (pendant la vie intra utérine) car nous allons avoir à prendre ces facteurs en compte dans notre traitement.

L’hérédité crée une faiblesse organique et une susceptibilité particulière vis-à-vis de certaine maladies. A un moment ou à un autre le génome exprime cette  faiblesse et peut déclencher une maladie au décours d’un choc, d’une maladie anergisante ou tout simplement être lié au vieillissement.

 

L’ENGRAMMATION

L’engramme est un élément qui investi le cerveau primaire.

L’engrammation est le mécanisme qui fait que cet élément reste en mémoire.

Si l’élément est toxique pour l’organisme investi, il devient intrusif.

Les spécificités de l’engramme vont déterminer les réactions du corps à son égard. L’énergie de défense de l’individu va décider du résultat de cette confrontation.

La multiplicité des intrusions donc des engrammations va progressivement affaiblir l’énergie biologique. Les allergies sont de bons exemples d’engrammations et l’on peut postuler que « plus on est allergique, plus on devient allergique » et vice et versa « moins on est allergique, moins on devient allergique ». Le fait de supprimer ces éléments intrusifs va donc rétablir progressivement la qualité de l’énergie biologique et augmenter la résistance de l’individu à l’agression extérieure.

 

 

 

L’enquête

 

« Mais vous n’avez pas maintes fois répété que, pour découvrir un coupable, il suffisait simplement  de s’asseoir dans un fauteuil et de réfléchir. » Monsieur Bouc à Hercule Poirot – Le crime de l’Orient Express – Agatha Christie

 

En médecine causale l’enquête va regrouper tous les éléments qui permettront d’aboutir à la cause de la maladie, c’est-à-dire à l’intrus. L’interrogatoire est le premier élément. Il va hiérarchiser les évènements qui ont précédés les prodromes et dessiner les contours du terrain biologique.

Les tests énergétiques vont déterminer les zones et les organes en difficultés énergétiques et réaliser un schéma relativement précis des atteintes de l’organisme. Le praticien va donc disposer d’une sorte de canevas qui va lui permettre de diriger son enquête vers la découverte de « l’intrus », c’est-à-dire l’élément qui a déclenché les réactions du corps.

 

LA DESENGRAMMATION EN OSTEOPATHIE ENERGETIQUE- procédures et possibilités techniques

Les procédures techniques ne peuvent concerner que des professionnels aguerris aux pratiques d'ostéopathie crânienne.

La Désengrammation Osthéopatique est une technique de pure Ostéopathie crânienne qui a pour but de lever le blocage d’admission ou de saturation du cerveau (considéré comme l’ordinateur central) suite à l’intrusion d’un élément extérieur qu’il soit matériel, psychologique ou émotionnel. Il est nécessaire de fixer l’attention du cerveau primaire pour déclencher la procédure de désengrammation car ce centre de commande et de régulation est sollicité en permanence pour assurer les adaptations métaboliques et hormonales.

Les tests sont les moyens de communication entre le praticien et le cerveau primaire du patient.

Les différents tests possibles en désengrammation ostéopathique énergétique :

 

- Organothérapiques

- Homéopathiques

- La substance elle-même

- Les tests par transferts optiques  

- Les médicaments

- Les prélèvements de tissus biologiques

- Le squelette en os

- La visualisation

- L’évocation mentale

 

On doit pouvoir atteindre  tous les éléments du corps par les tests réactifs du cerveau primaire.


 

 

LA DESENGRAMMATION
LA DESENGRAMMATION