Rendons à César
ce qui appartient
à César !
C'est à Monsieur James d'Adamo et à son fils Peter J. que l'on doit une étude sur les groupes sanguins et l'alimentation.
Depuis plusieurs années, je teste mes patientes et patients au niveau nutritionnel et les résultats me confortent dans cette approche des métabolismes alimentaires liés à l’évolution de l’homme.
Aujourd'hui, nous allons survoler les besoins alimentaires du groupe O.
Je vais éliminer volontairement les listes détaillées des aliments à éviter ou bénéfiques que nous a dressé Peter J. D’Adamo pour ne conserver que l’essentiel qui nous sert en désengrammation à approcher le métabolisme du patient.
Il et évident que les grands groupes alimentaires comme les laitages, les céréales ou les viandes sont les nutriments quotidiens et de ce fait susceptibles de provoquer des troubles métaboliques, alors qu’un légume ou un fruit isolé ne peut créer que des perturbations passagères.
Le groupe O est 1er groupe apparu sur la terre et encore aujourd’hui le plus répandu, c’est le chasseur-cueilleur.
Son carburant nutritionnel de base est la protéine apporté par la viande.
Chez ce chasseur, le gibier était une viande maigre, pour le groupe O aujourd’hui, il lui est conseillé d’éviter les viandes grasses surtout s’il est sédentaire. C’est un amateur de poissons, crustacés et coquillages.
Pour ce qui concerne les laitages, il est préférable pour le groupe O de s’en tenir à ceux de chèvre, de brebis et de bufflonne.
Le blé à haute dose et en particulier le blé complet crée chez le groupe O, des perturbations intestinales, le riz lui est une céréale beaucoup plus digestible.
Quelques petits éléments supplémentaires.
- Attention à l’huile d’olive lorsque l’ont n’est pas originaire du pourtour méditerranéen.
- Attention à la vitamine C en excès en particulier les jus d’oranges quotidiens et les agrumes en général. (qui ne sont pas des fruits d’hiver en France !)
- Les poivrons rouges et verts sont difficiles à digérer.
- Attention au café et au thé noir pour ce groupe qui a déjà un métabolisme tonique.